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De l’italien guazzo (détrempe), c’est une préparation où les matières colorantes sont délayées dans de l’eau mêlée de gomme et de blanc.   Ce sont des couleurs couvrantes et opaques, ce qui les différencie de l’aquarelle.   La technique de la gouache pure est analogue à celle de la peinture à l’huile.   Lire l'article en entier

« L’aquarelle est surtout l’art des intentions. » D. de Segonzac.   Mélange de pigments colorés et de gomme transparente diluée dans plus ou moins d’eau, sans addition de blanc.   Cette technique permet tous les jeux de transparence et de superposition en utilisant le blanc du papier.   Elle est une des expressions privilégiées […] Lire l'article en entier

Poudre de pigments colorés pulvérisés, agglomérés et façonnés en bâtonnet.   Avec ses 1 600 nuances environ, le pastel au velouté sensuel, précieux et lumineux permet de traduire tous les dégradés et toutes les nuances ainsi que le rendu très fidèle des textures.   Dès le XVIIe siècle, cette technique se révèle comme l’une des […] Lire l'article en entier

Bâton de charbon de bois tendre, connu dès l’Antiquité (et déjà visible sur les murs des grottes préhistoriques), le fusain, poudre très volatile, permet mieux encore que la pierre noire de rendre tous les contrastes possibles entre le blanc du papier et les noirs profonds et ténébreux en procédant par écrasement et par superposition.   […] Lire l'article en entier

La couleur ne manque pas au dessinateur grâce à l’usage des pierres naturelles, jusqu’au XVIIe siècle environ, puis artificielles, depuis l’invention de Nicolas- Jacques Conté.   Deux pierres naturelles sont couramment employées : la pierre noire, qui vers le début du XIXe siècle fut en partie supplantée par le fusain et la mine de plomb, […] Lire l'article en entier

Écrire et dessiner sont identiques en leur fond disait Paul Klee. Aussi est-ce de manière assez naturelle que les dessinateurs utilisent depuis fort longtemps, la plume et l’encre, un matériel peu encombrant, facile à transporter en toutes circonstances.   L’usage des plumes d’oiseaux (cygne, oie, corbeau), taillées à la main, est connue dès le VIe […] Lire l'article en entier

L’aquatinte permet d’obtenir des « valeurs » allant du gris le plus léger au noir le plus profond dans la gravure en « noir et blanc » ou, pour la gravure en couleur, des surfaces colorées en aplat ou en dégradé.   Elle s’obtient à l’aide de résine pulvérisée et d’une « boîte à grains […] Lire l'article en entier

Une technique qui cultive la réflexion, la lenteur et l’habileté manuelle, tel est le burin, cette petite barre d’acier taillée en biseau qui creuse la plaque de métal (le cuivre rouge de préférence).   La tige d’acier enfoncée dans le champignon en bois dur (ébène ou buis) fait parfaitement corps avec la main du graveur […] Lire l'article en entier

La gravure en taille-douce, née du travail de l’orfèvre, c’est l’empreinte que laisse sur une feuille de papier une plaque de métal (cuivre, acier, zinc) creusée et encrée, à la différence de la taille d’épargne où le dessin, au contraire, apparaît en relief.   Le type de gravure dépend des moyens utilisés pour creuser la […] Lire l'article en entier